
Qui profitent des aides sociales ?
Bien sûr celui qui les reçoit.
Le bénéficiaire, selon ses droits et la politique menée, va toucher plus ou moins d’aides sociales. À priori, cela semble acceptable mais certains secteurs sont privilégiés et d’autres défavorisés.
Indirectement un secteur qui profite de cette politique sociale est le secteur associatif qui gère sur le terrain les carences de l’Etat.
Nous sommes tous un peu les payeurs, mais les salariés et les employeurs sont les principaux contributeurs par le biais des cotisations.
La question était ; Peut-on remplacer toutes les aides, par un revenu de base ou un revenu d’activité, la logistique de toutes ces aides éparpillées étant multipliée par autant de frais qu’il y a d’aides ?
On assiste à une division d’opinion de la population provoquée par la mise en œuvre de la politique choisie. Il y a les pour et les contre. Chacun défendant son intérêt et/ou son point de vue.
Très vite c’est ce qui s’est passé dans notre débat..
Deux opinions se sont affrontées.
Les contre :
Le salaire à vie est le parfait moyen de réduire une population à l’esclavage, en l’infantilisant, en le déchargeant de toutes responsabilités. Il permet d’instaurer un nouvel ordre mondial dirigé par une administration locale de fonctionnaires.
Les pour :
La liberté des activités, notamment de travailler (bénévolat), participer au fonctionnement de la société (éducation des enfants, aidants) du travail non salarié sur internet pour les entreprises et l’administration (ex.: prendre un billet de train, acheter de l’électro-ménager, fournir des données aux entreprises, etc.) activités sans rémunération et pourtant indispensables à la bonne marche de la société.
Les contre
Plus personne n’aura envie d’aller travailler.
Les pour :
On ne peut rester sans activité, sans rien faire. Donc avoir un travail rémunéré qui vous permet de mieux vivre qu’avec un revenu de base motivera certainement.
L’opinion est bien reflété dans ce débat, il faudra pour argumenter plus dans un sens ou dans un autre s’en référer aux chiffres. Le coût, la logistique, que ce soit pour des aides ciblées, pour un revenu de base, ou un revenu d’activité. Il faudra aussi travailler sur le financement.