QUESTIONS DE FOI
Question de foi – Question de choix – Question de société :
“Liberté-Egalité-Fraternité”
PAR PIERRE PICOU,
LA RELIGION EST UN CHOIX PERSONNEL ET PRIVÉ
Sa foi ne concerne pas la société et elle ne peut pas imposer des règles pour le “vivre ensemble”. Il est étonnant que sur un récent sondage, la jeunesse maghrébine fait passer la loi de la religion avant celle de la République (70%)
Beaucoup de musulmans, sont d’abord musulmans, avant d’être Français et leur religion commande cet ordre et cela devient un grave problème, eu égard aux règles de vie imposées par cette croyance. Petit à petit elles rognent sur nos libertés de façon insidieuse.
Un exemple mondial, la déclaration des droits des Nations Unies, qui a subi en 1981 une révision, la liberté de religion et le droit de changer de religion (interdits pour l’Islam) ont été supprimés et seul le droit d’avoir une religion a été conservé.
Notre histoire, notre société, après de graves conflits a institué la séparation de l’Église et de l’État en 1905 par une Loi célèbre, cela s’est fait dans la douleur, avec d’un côté des républicains anti cléricaux “à bas la calotte” criaient-ils et de l’autre l’église qui défendait ses pouvoirs et ses biens, pour rester religion d’État.
Aujourd’hui, on parle de laïcité et peu de personnes dans le monde comprennent ce que cela signifie, d’un côté les anglosaxons, complétement étrangers à cette approche, et de l’autre l’hégémonie de l’islam et des puissance arabes complétement opposées à la suprématie de la République sur la religion, pour diriger un pays.
NOTRE FAÇON DE VIVRE EST EN DANGER
Monsieur Tawfik HAMID, ancien médecin égyptien, ancien terroriste islamiste (Jaama Islamya) qui vit aux États-Unis, milite pour réformer l’islam, et explique pourquoi il n’est plus musulman.
Si la croyance religieuse est politiquement reprise et exploitée par le pouvoir, cela aliénera les individus et interdira une société libre et un État de droit. Le dijhad est prôné par la loi islamique, il n’existe pas de tolérance islamique. L’Islam a conquis par l’épée et ce faisant il a détruit la chrétienté en Orient et la culture persane séculaire, pillant et brulant les églises et les temples, il a dévasté l’Inde et a littéralement mis à sac des millions de temples hindous.
Cela ne peut être plus clair, ce ne sont pas les croyants qui sont à blâmer mais l’idéologie que cette religion induit.
COMMENT SAUVER NOTRE SOCIÉTÉ
ET SE RESPECTER LES UNS ET LES AUTRES ?
Il faut une nouvelle législation sur ce que nous voulons pour la France de demain, Nation une et indivisible, République citoyenne et non religieuse.
Pourquoi pas un référendum, qui mettrait fin à tout problème, et éviterait des prises de position politiques partisanes et inutiles. THÈME : “La foi et la religion sont du domaine privé et personnel à chaque être humain et citoyen. Une personne ne doit pas dans le domaine public faire ressortir ses croyances par sa tenue vestimentaire, ses bijoux, ses postures ou tous signes visibles. Il ne pourra revêtir des habits rituels ou décors, bijoux ou autres que dans des lieux privés ou de culte.”
Cette loi deviendrait un principe constitutionnel et s’appliquerait à toutes les religions ainsi qu’à leurs représentants.
Paix sur la terre, Amour parmi les hommes (et femmes) joie dans les cœurs
“Une personne ne doit pas dans le domaine public faire ressortir ses croyances par sa tenue vestimentaire, ses bijoux, ses postures ou tous signes visibles. Il ne pourra revêtir des habits rituels ou décors, bijoux ou autres que dans des lieux privés ou de culte”
Que fait-on de la montée aux flambeaux à Notre Dame de La Garde, des sonneries de cloches, et tout simplement des monuments religieux.
La laïcité a des limites et elle devrait être redéfinie.
Le texte touche aux interdictions individuelles, une société sans signes religieux extérieurs, pour le vivre ensemble, la Nation Une et Indivisible, ce, serait un signe fort. Quant aux manifestations ou activités religieuses c’est autre chose, l’usage, la coutume, l’histoire les justifient dans, le temps comme Noël etc…
s’il n’y avait pas de signes religieux extérieurs il faudrait raser tous les édifices religieux, les calvaires, changer le nom des villes et villages arborant un nom de saint. Pour les personnes, plus de robe de bure pour les moines, d’habit pour les religieuses, de soutanes pour les clercs. Et pour les laïcs, les médailles de baptême, de communion disparaîtraient. Toutes ces questions ne se posaient plus depuis quelques dizaines d’années, la loi de séparation de 1905 entre l’Église et l’État ayant été digérée. C’est l’arrivée de la religion musulmane et de sa présence dans l’espace public avec ses tenues vestimentaires identifiables, foulard islamique, hidjab, urka, burkini, djellaba, barbes drues qui a provoqué des réactions. L’islam est en effet à la fois religion mais aussi politique, voire civilisationnel. Il nous faut donc réfléchir non sur la religion elle-même mais sur son expression dans la vie publique, et cette réflexion ne pourra se faire qu’avec des Français musulmans, afin de trouver l’équilibre entre religion et laïcité.