Nous avons eu plus d’échanges dans le groupe Linkedin que sur la plate-forme, Il en ressort que c’est un sujet complexe qui fonctionnait très bien avant les loi et que nous ajoutons un problème à ce qui n’en était pas un auparavant. Voici les principales remarques
 
Une langue est une musique, un son, et si votre oreille se familiarise avec une langue “Locale” cela va aider pour toutes les autres.
 
Une langue est une identité, si l’on accepte l’Anglais, l’Allemand et autres, il est normal que celle-ci soit enseignée au même titre que toutes les autres, même en prolongement du Français, comme le BASQUE, le CORSE, le BRETON, sans oublier le FLAMAND, LE PICARD, comme la langue d’oc, la Langue d’oil c’est pour moi un plus.
 
Tout comme à l’échelle de la Nation, nous ne pouvons accueillir, dialoguer que si nous sommes conscients de ce que nous sommes, de notre passé, de l’Histoire de notre lieu et bien sûr ainsi faire aimer tout ce qui fait notre identité.
 
Tout comme à l’échelle de la Nation, nous ne pouvons accueillir, dialoguer que si nous sommes conscients de ce que nous sommes, de notre passé, de l’Histoire de notre lieu et bien sûr ainsi faire aimer tout ce qui fait notre identité.
 
Avant je crois que l’on s’emmer……  pas avec tout ça. Et ça fonctionnait très bien,

J’ai été mise au défi de faire une proposition : la voici :
Ce besoin de retour aux langues régionales, aux patois sont un besoin de reconnaissance de culture patrimoniale, de refus de mondialisation, de “qui sommes-nous?”
Un rapport établi en 1999, dresse une liste de 75 langues auxquelles aurait pu s’appliquer la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires
Les terroirs ou «pays» pourraient répondre à ce besoin identitaire. Ils ne seraient pas une strate administrative de plus ou une frontière qui diviserait la France,

Les communes concernées se regrouperaient en association pour déposer un cahier des charges techniques regroupant le patrimoine immobilier, le patrimoine naturel qu’il entend conserver, la gastronomie, les us et coutumes,l’artisanat, les costumes et bien sur la langue qui serait le point commun de ces communes. Un inventaire qui permettrait d’archiver, de garder en mémoire notre culture, nos origines. Qui serait à la fois touristique, historique, permettant un enseignement de l’histoire locale, de la langue.