En ces temps troublés, où les nuages sombres de l’adversité s’amoncellent à l’horizon, la France, gardienne séculaire des valeurs de liberté et de démocratie, a décidé de prendre les devants. Face au spectre menaçant que la Russie fait peser sur l’Union Européenne, notre nation a embrassé avec ferveur le principe ancestral selon lequel aucune guerre n’est gagnée par une poignée de professionnels, mais par la résilience et la mobilisation collective. C’est dans cette optique que l’État a annoncé la constitution de quatre divisions supplémentaires, soit deux nouveaux corps d’armée, levés parmi nos citoyens les plus engagés, prêts à être mobilisés pour la défense de notre territoire, soit environ 100 000 hommes supplémentaires.
Toutefois, devant l’urgence et la posture inébranlable adoptée par notre nation, un acteur inattendu a choisi de brouiller les cartes : la Chine, dans un geste audacieux, a suspendu tous ses échanges commerciaux avec la France. Cette décision a eu des répercussions immédiates sur notre capacité à équiper ces nouveaux corps d’armée. Les vélos, envisagés initialement comme moyen de transport rapide et fiable, sont désormais hors de portée, faute d’acier chinois. Quant aux fusils et aux munitions, ils relèvent désormais du domaine du rêve.
Face à cette impasse, l’ingéniosité française a trouvé une solution à la fois pragmatique et empreinte de nostalgie : l’équipement de nos troupes de lance-pierres. Malheureusement, même dans cette entreprise, l’adversité nous guette : l’absence d’élastiques solides, eux aussi victimes de notre isolement commercial, nous force à adopter une alternative des plus surprenantes. Nos lance-pierres seront donc munis de cuillères… en bois, faute de métal. Armés de ces cuillères de fortune et de munitions pétrifiées, nos soldats se dresseront, fiers et déterminés, face à l’envahisseur.
Mais ce n’est pas tout. La rupture des échanges avec la Chine affecte également l’équipement personnel de nos troupes. Chacun est donc appelé à se vêtir de ce qu’il a, les treillis et les rangers étant restés dans les limbes des commandes internationales. Ainsi, dans une démarche pleinement écologique, nos 100 000 hommes supplémentaires s’avanceront à pied, armés de leur courage et de leur détermination, prêts à défendre nos valeurs et notre territoire avec leurs cuillères en bois et leurs poignées de cailloux.
Cet exposé, bien que digne des plus grandes épopées, nous amène à une conclusion incontournable : la nécessité impérieuse de prévoir, de planifier, afin que nos futurs mobilisés soient correctement habillés, équipés des dernières technologies en matière d’armement, munis de véritables munitions, et soutenus par une infrastructure de transport et de logistique efficace. Car, à défaut, nous courons le risque insensé d’envoyer nos enfants au front, pieds nus, armés de lance-pierres primitifs.
Dans un retournement final, il convient de souligner le caractère délibérément exagéré et absurde de cette stratégie de défense. Par cet exercice d’ironie, l’intention est de mettre en lumière l’urgence d’une action cohérente et réfléchie face aux menaces contemporaines. Loin de prôner un retour aux armes préhistoriques, cet article cherche à rappeler que la préparation, l’innovation et la solidarité internationale sont les véritables clés de la sécurité et de la paix.
Créer un ennemi imaginaire est une tactique très courante en politique.
On va créer l’ennemi CO2, le carbone, la russie, la gauche, l’extrême droite, l’islamisme, le sionisme,….
Pendant que notre attention est dirigée vers cet ennemi, on ne voit pas ce qui se passe et surtout on ne comprend pas que nous sommes manipulés.
Cet article prouve que l’idéologie anti russe fonctionne bien !
Qui a intérêt à nous faire peur d’un ennemi ?
Ce n’est pas nouveau. Les USA ont depuis longtemps pris possession de l’UE et de la France.
Nous sommes devenus une colonie américaine !
Et nous devrions donc avoir les mêmes ennemis que nos “maîtres ” !
NON
Il faut se libérer de la dictature américaine !
Faut il se lier avec la Russie ? Non car en géopolitique il n’y a pas d’amis mais des conflits d’intérêts.
La Russie comme les USA ou la Chine sont des concurrents et ne visent qu’à nous exploiter.
Mais l’Allemagne ne fait elle pas aussi la même chose ?